Ratrack a écrit :Et je le dis très clairement, le fait de faire tout ça, tout au long de l'année, ne vous met pas à l'abri des blessures.
+1, le ski est un sport à risques, il faut toujours garder cela à l'esprit.
Ratrack a écrit :Le terme de "préparation" me gène un peu. Il induit le fait que le fait de se "préparer" deux ou trois mois avant la saison serait suffisant, or c'est faux.
Ratrack a écrit :La préparation doit se faire tout au long de l'année par de l'activité physique régulière
L'idée est de dire qu'on ne peut en aucun cas monter sur des spatules comme si on allait se promener au bord de la rivière. Ceci dit, en toute amitié, je ne suis tout à fait d'accord avec toi.
C'est 50 fois vrai et absolument nécessaire
si le skieur veut y aller comme un dingue, mais cela suppose
de facto qu'il soit sportif : le fou de descente est par définition un accroc au sport. Auquel cas, cette personne pratique déjà par hypothèse des activités physiques régulières toute l'année et sait ce qu'elle fait. Mais on est très loin du profil de la grande majorité des skieurs, car tout le monde ne fait pas de hors piste et ne cherche pas les pistes noir foncé.
Pour le skieur promeneur lambda, sportif "du dimanche" (avec notamment des genoux à géométrie variable, type "pantographe"

...) qui ne fera sûrement pas les descentes du siècle lors de sa semaine annuelle de ski, une 'préparation' physique
a minima sur 2 ou 3 mois suffit amplement à mon avis.
Si je regarde dans mon entourage amical et professionnel, il n'y en a pas 1 sur 3 à se préparer avant d'aller au ski... Tout simplement parce qu'ils n'ont pas le temps (cadres dans l'industrie, médecins ou autres, avec de jeunes enfants etc...). Et ils ne rentrent pas cassés en mille morceaux pour autant. Mais cela implique :
le_capitaine a écrit :connaissance de ses limites personnelles avant tout
le_capitaine a écrit :Mais aussi, des cours de ski pour ne pas faire n'importe quoi
Serai normalement à Belle-Plagne du 31 janvier au 7 février février 2020 aux Néreïdes.